Nous repartons dans la montagne et passons un petit col qui a des allures de grand ... avec ses montagnes enneigées, tout là-bas.
Les pins, seigneurs de ces Alpes du sud, jalonnent les petites routes qui s'ouvrent devant nous, au gré de nos envie et qui nous mènent à travers plateaux et ravins. Nous nous arrêtons souvent, pour un paysage, pour une fleur entre aperçue, pour un pin plus beau, nous semble-t-il, que les autres ...
De petits villages s'égrènent, un peu endormis ... Là aussi, nous nous arrêtons, parcourant la rue principale, faisant le tour de la place de l'église ...
Après bien des tours et détours, nous arrivons à Peillon, le village "déclencheur" de cette virée dans l'arrière-pays
Il est magnifiquement restauré, et nous nous empressons de nous faufiler dans ses ruelles, toutes prétextes à photos, dans l'enchevêtrement des maisons qui semblent s'agripper les unes aux autres, pour mieux résister à la pente ...
Pas âme qui vive, même pas de chats ... seuls deux garçons caracolant sur les marches se disputent et leurs cris se répandent dans tout le village ... Un marteau reprend son travail, et son tambour lent accompagnera notre balade un peu sinistre dans ce village mort, qui semble être n'habité que par des vacanciers estivaux !
Oh, la beauté était au rendez-vous, et nous avons aimé nous perdre, admirer les pierres, les architectures, une plante parfois, mais le sentiment de musée à ciel ouvert a perduré ...
A la sortie du village, nous admirions une clématite qui illuminait une tonnelle et la jardinière flattée est venue parler fleurs, vantant son jardin petit et très soigné ... Moment délicieux dans l'après-midi finissant, et tout d'un coup je réalisais que cette expert en fleurs et en vieilles pierres avait l'accent anglais !
Pas de mimosa à Peillon, mais ce n'est pas un mimosa qui fait le printemps :
Les pins, seigneurs de ces Alpes du sud, jalonnent les petites routes qui s'ouvrent devant nous, au gré de nos envie et qui nous mènent à travers plateaux et ravins. Nous nous arrêtons souvent, pour un paysage, pour une fleur entre aperçue, pour un pin plus beau, nous semble-t-il, que les autres ...
ou parfois, d'ailleurs, l'heure n'est pas la même, si l'on vient de l'ouest ou si l'on vient du nord!
Les gens se saluent ici, comme dans notre région, et ils n'oublient pas de saluer les étrangers que nous sommes, ce que j'ai rarement vu chez nous ! Leur amabilité accroît notre sentiment de douceur de vivre.
Après bien des tours et détours, nous arrivons à Peillon, le village "déclencheur" de cette virée dans l'arrière-pays
Il est magnifiquement restauré, et nous nous empressons de nous faufiler dans ses ruelles, toutes prétextes à photos, dans l'enchevêtrement des maisons qui semblent s'agripper les unes aux autres, pour mieux résister à la pente ...
Pas âme qui vive, même pas de chats ... seuls deux garçons caracolant sur les marches se disputent et leurs cris se répandent dans tout le village ... Un marteau reprend son travail, et son tambour lent accompagnera notre balade un peu sinistre dans ce village mort, qui semble être n'habité que par des vacanciers estivaux !
Oh, la beauté était au rendez-vous, et nous avons aimé nous perdre, admirer les pierres, les architectures, une plante parfois, mais le sentiment de musée à ciel ouvert a perduré ...
A la sortie du village, nous admirions une clématite qui illuminait une tonnelle et la jardinière flattée est venue parler fleurs, vantant son jardin petit et très soigné ... Moment délicieux dans l'après-midi finissant, et tout d'un coup je réalisais que cette expert en fleurs et en vieilles pierres avait l'accent anglais !
Pas de mimosa à Peillon, mais ce n'est pas un mimosa qui fait le printemps :