Pour fuir l'hiver et le froid qui me transperce, j'ai une recette bien à moi, que je vous ai déjà expliquée ICI.
Hier, je suis retournée dans cette serre splendide, et sous prétexte photographique, j'ai fait une cure de chaleur, bien sûr, mais aussi de couleurs!
La différence de température m'a d'abord permis de voir le jardin dans les brumes de chaleur comme dans les forêts primaires et c'est dans un silence ouaté que les papillons frôlent les visiteurs... quand ils ne viennent pas carrément les butiner. Habit rouge de Guerlain semble être une senteur à leur convenance!
Impossible de prendre en vol ces grands voiliers zébrés de noir qui semblent planer sans but... Mais ils se fatiguent parfois et passent à d'autres occupations...
L'oeil s'amuse à essayer de les dénicher dans la végétation souvent rongée - j'aime à penser que c'est par leurs chenilles et non par quelque race d'escargot tout aussi vorace. Les Pandanus eux semblent épargnés, certainement grâce à leurs feuilles finement dentées. Un petit frisson sur le dos de la main...
Du vert, du vert, et du vert encore.... parfois électrique.
Pendant deux heures, j'ai tourné sous le dôme protecteur, mes yeux ne sachant qu'admirer le plus : les feuilles, les fleurs, les papillons, les quelques oiseaux? ou simplement ce papillon qui une fois refermé ressemble à une feuille morte?
Encore un petit coup de bleu,
avant de passer à la boutique pour choisir son prochain bijou parmi les chrysalides, sagement rangées.
Avez-vous pu faire votre choix?
Hier, je suis retournée dans cette serre splendide, et sous prétexte photographique, j'ai fait une cure de chaleur, bien sûr, mais aussi de couleurs!
La différence de température m'a d'abord permis de voir le jardin dans les brumes de chaleur comme dans les forêts primaires et c'est dans un silence ouaté que les papillons frôlent les visiteurs... quand ils ne viennent pas carrément les butiner. Habit rouge de Guerlain semble être une senteur à leur convenance!
Impossible de prendre en vol ces grands voiliers zébrés de noir qui semblent planer sans but... Mais ils se fatiguent parfois et passent à d'autres occupations...
L'oeil s'amuse à essayer de les dénicher dans la végétation souvent rongée - j'aime à penser que c'est par leurs chenilles et non par quelque race d'escargot tout aussi vorace. Les Pandanus eux semblent épargnés, certainement grâce à leurs feuilles finement dentées. Un petit frisson sur le dos de la main...
Du vert, du vert, et du vert encore.... parfois électrique.
Un soleil tonique qui n'a pourtant pas échappé au grignotage, malgré ses feuilles coriaces
Pendant deux heures, j'ai tourné sous le dôme protecteur, mes yeux ne sachant qu'admirer le plus : les feuilles, les fleurs, les papillons, les quelques oiseaux? ou simplement ce papillon qui une fois refermé ressemble à une feuille morte?
Encore un petit coup de bleu,
avant de passer à la boutique pour choisir son prochain bijou parmi les chrysalides, sagement rangées.
Avez-vous pu faire votre choix?