Après une nuit entrecoupée par le brouhaha de la joie de vivre des noctambules, le réveil est serein dans le matin apaisé ... l'air est lisse, le soleil glisse à travers les nuages.
Descente jusqu'au port par les ruelles : la ville au soir avait masqué sous des amoncellements de babioles touristiques son vrai visage. Et c'est la belle découverte !
Les rues dévalent dans un lacis compliqué jusqu'à la mer. Partout le bleu semble dominer et les barrières bordent les escaliers comme autant d'échelles ...
L'étroitesse du passage accentue l'impression de labyrinthe et sans la pente, on perdrait facilement le sud ... Souvenirs de médinas ... autrement plus méridionales. Se faufiler sans but, entendre vibrer le bruit de la vie derrière les murs chaulés, sentir les premières odeurs de cuisine mêlée aux odeurs de jasmin ...
Un regard en arrière ne permet pas de se repérer ..
mais, au détour, facile à retrouver avec son rouge vénitien la maison d'un original ou d'un individualiste ? Les pavés nous mènent à nouveau dans le domaine du bleu.
Invitation à la pause ... dédaignée, par peur de déranger ...
Par contre, au bout du parcours, dans le matin orageux, face à la mer ...
Descente jusqu'au port par les ruelles : la ville au soir avait masqué sous des amoncellements de babioles touristiques son vrai visage. Et c'est la belle découverte !
Les rues dévalent dans un lacis compliqué jusqu'à la mer. Partout le bleu semble dominer et les barrières bordent les escaliers comme autant d'échelles ...
L'étroitesse du passage accentue l'impression de labyrinthe et sans la pente, on perdrait facilement le sud ... Souvenirs de médinas ... autrement plus méridionales. Se faufiler sans but, entendre vibrer le bruit de la vie derrière les murs chaulés, sentir les premières odeurs de cuisine mêlée aux odeurs de jasmin ...
Un regard en arrière ne permet pas de se repérer ..
mais, au détour, facile à retrouver avec son rouge vénitien la maison d'un original ou d'un individualiste ? Les pavés nous mènent à nouveau dans le domaine du bleu.
Invitation à la pause ... dédaignée, par peur de déranger ...
Par contre, au bout du parcours, dans le matin orageux, face à la mer ...
Pouh ! chez moi c'est la grisaille mais le jardin manquait tellement d'eau ...
RépondreSupprimerLe monde appartient à ceux qui se lèvent tôt, c'est tellement vrai. Ils sont récompensés par des matins tous neufs et tous propres, des rues offertes , des couleurs uniques, des parfums régénérés, une bienfaisante solitude.. le monde s'offre à eux , serein et apaisé..Une balade comme je les aime! Merci, Gine!
RépondreSupprimerCa doit etre agréable de déambuler dans ce beau labyrinthe!
RépondreSupprimerdedans comme dehors,on se sent bien!bonne journee!
RépondreSupprimerj'adore les maisons blanchies à la chaux, les encadrures bleues des portes... et le rouge des bougainvilliers!
RépondreSupprimerComme aurait dit Baudelaire
"Là tout n'est qu'ordre et beauté, luxe calme et volupté", car aujourd'hui le luxe c'est vraiment de retrouver des endroits encore intacts.
comme c'est beau, très épuré mais si beau. Le soleil va revenir pour éclairer les maisons blanches, et donner de la profondeur au bleu, et le rouge sera encore plus attirant. Bonne soirée Gine Bises
RépondreSupprimerEnfant je passais mes vacances sur l'île de Krk en Yougoslavie, tes photos m'évoquent les dédales des ruelles de Baskà.
RépondreSupprimerJe viens de chez mon amie Anne.
Bonne soirée.
J'adore ce blanc et bleu, mais aussi ces touches de rouge...
RépondreSupprimerWow! How lovely. Would love to spend some time in these street.
RépondreSupprimerCette visite guidee me fait rever de petites ruelles solitaires...Merci Gine
RépondreSupprimerUn beau voyage avec deux couleurs que j'affectionne. ce blanc et ce bleu dans ce décor doit être très reposant par le calme que j'imagine.
RépondreSupprimerbelle journée jocelyne
Mykonos le matin, juste quand elle retrouve ses habitants et son calme. Ton billet en reflète bien l'ambiance.
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