C'est une baie où poussent des herbes étranges dans des prairies inondées,
où les mouettes se perdent dans la peau ocellée de rivages incertains
et où des vagues de terre séparent les eaux calmes.
Impassible sur sa langue de terre ferme, le phare du Hourdel,
se dresse entre terre et mer, défiant les cavalcades de nuages qui menacent son royaume.
Ayant enfin atteint la Baie de Somme que je me promettais de visiter depuis de nombreuses années, je me suis perdue avec fascination dans les nuances infinies de ses gris. Monde étranger, si peu familier, si exaltant !
So beautiful, I almost smell the sea:)
RépondreSupprimerHugs
Joo
J'ai toujours revé d'aller en Baie de Somme. Maintenant, encore plus! c'est malin.. :o)
RépondreSupprimerUn texte et des images en parfaite harmonie, c'est vraiment très beau, Gine !
RépondreSupprimerUne découverte pour moi aussi. Tu as raison, par jour de pluie c'est un festival de nuances de gris. J'aime beaucoup la cavalcade de nuages (tant le texte que la photo).
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup tes photos
RépondreSupprimerParfois, on y aperçoit une colonie de phoques...
RépondreSupprimerNous avons traversé la Baie de Somme en avril dernier. Un très bon souvenir pour toute la famille! Nous avons aperçu les phoques en effet! Magique!
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